ILS ONT CHOISI NOS FORMATIONS



ILS / ELLES SOUTIENNENT LE CAMPUS DE LA GASTRONOMIE




Ma formation à l’Esthua m’a permis d’acquérir les bases culturelles, managériales et l’esprit critique nécessaires à des postes à responsabilité dans la restauration internationale.
Le choix de poursuivre par une Mention Complémentaire à la CCI de Maine-et-Loire se fondait sur une nécessité évidente de maîtriser les bases techniques et manuelles du corps de métier que j’avais choisi, la sommellerie.
La complémentarité entre ces deux formations m’a ouvert des portes professionnelles uniques qui m’ont conduites où je suis aujourd’hui, Master Sommelier et Managing Partner d’un restaurant à New York en moins de 10 ans.
Et en 2018, je suis devenue la première femme à obtenir le titre « Un des Meilleurs ouvriers de France » sommelier.
J’ai obtenu ma licence professionnelle Vital (Valorisation Innovation Transformation des produits Alimentaires Locaux) à l’ESA après un DUT Génie biologique option agronomie à l’IUT de l’Université d’Angers. Le développement des circuits courts est porteur d’avenir, ils feront partie de l’économie de demain dans le monde agricole. Aujourd’hui, je suis chargée de mission pour le syndicat Jeunes Agriculteurs Pays de la Loire.
La formation à l’Esthua en Licence professionnelle Métiers des arts culinaires et des arts de la table m’a permis une immersion totale dans l’univers de la gastronomie, et plus spécifiquement, dans le domaine vitivinicole.
Après six mois de stage à l’Interprofession des Vins de la Vallée du Rhône, j’ai souhaité intégrer, en octobre 2017, l’ESA et le Master International Vintage. À terme, ces deux formations m’apporteront une double expertise dans le milieu de l’hôtellerie restauration et de l’industrie du vin.
Journaliste à l’Hôtellerie Restauration et intervenante à l’Université d’Angers
Je vois dans le Campus de la Gastronomie une réelle pertinence à proposer une approche transversale des métiers « gourmands », en partant du produit cultivé pour aller jusqu’à l’assiette (assiette en tant que contenu et contenant).
Par ailleurs, je trouve cohérent qu’un territoire comme Angers accueille un tel campus, au regard de ses richesses locales, tant dans ce qui se mange et se boit que dans son attractivité vis-à-vis des étudiants. Enfin, que l’on soit en formation initiale ou continue, ce campus va être une opportunité sans équivalent de rencontrer universitaires, experts et professionnels de tout ce qui a un lien avec la nourriture, le goût, la gastronomie.
Dirigeante des caves Louis de Grenelle et présidente de l’Union des Maisons de Fines Bulles de Loire
L’alliance de 3 partenaires dans les domaines de la gastronomie, CCI, Esthua et l’ESA traduit un beau projet pour le territoire angevin.
Proposer une offre de formation mutualisée, pour former des jeunes du CAP au doctorat, c’est apporter à la fois une réponse à l’attente de ce marché qui évolue sans cesse et donner une image dynamique et innovante du territoire angevin.
C’est également pour nous, les vins et les Fines Bulles de Loire un soutien important dans l’accompagnement de nos futurs collaborateurs et une reconnaissance de la filière vins et spiritueux en Anjou.
Je ne peux que soutenir une initiative qui fait la promotion de la gastronomie, ce campus est unique et innovant, il permet la formation des professionnels de demain en partant de la terre jusqu’à l’assiette, en ayant des connaissances sur les vins et spiritueux, une reconnaissance de l’aspect environnementale qui permettra j’en suis sûr, un bel avenir à notre profession.
Je suis exploitant agricole et produits du sel en tant que paludier depuis 45 ans. J’ai également dirigé les coopératives de salines de Guérande pendant 15 ans et présidé les Sites remarquables du Goût, un label de qualité pour les lieux associés à la richesse et la diversité de la gastronomie française.
Je suis donc très sensible à la création du Campus de la Gastronomie qui permet de décloisonner des domaines qui sont en général complémentaires mais qu’on oublie de mettre en relation : les produits, la cuisine et le tourisme.
Cette volonté de décloisonnement permet de former et accompagner des professionnels avertis, soucieux de la traçabilité et de la qualité.